Avant-première sortie le 7 Mars! Claire Gorius = « Que guérisse la douleur du silence » – Chroniqué par Charlyy Gentle Phoenix.


Un petit concentré de passion.

Claire Gorius a mis au monde « Que guérisse la douleur du silence » – Il s’agit d’un livre Auto-Edité !! …

Celui-ci s’avère très contemporain (au sens propre), car sa sortie est programmée le 7 Mars 2022.

On débute par une agréable référence street avec la citation d’IAM.

L’accroche des premières phrases est réussie.

Le petit Rafaelo rencontre un ange, et c’est beau *_*

Il est illustré dans ce propos la grosse tendance qu’avaient en clair les trois quarts de ma classe : passer son temps à dessiner, voir juste gribouiller pour les moins talentueux, en cours.

Pour une fois, j’a pris plus de temps que d’habitude pour lire « Que guérisse… » J’ai savouré un peu…

Rafaelo est un perso né en 80, il deviendra musicien professionnel haut la main (trompettiste).

Orelsan chantait : « Donc écoute bien les conseillers d’orientation et fait tout l’opposé de ce qu’ils te diront. En gros les trucs où on te dit ça sert à rien faut que tu tienne longtemps et que tu t’accroches. »

Rafaelo est victime de la « tyrannie familiale » : mère soumise, père salopard…

Pendant que le héros évolue, on suit en parallèle l’histoire de Laura, qui va rendre visite à sa grand-mère régulièrement. Celle-ci lui enseigne que les anges prennent soin des enfants, et que le malheur est le choix de la facilité.

Le musicien subit des violences psychologiques de la part de son père. Page 38, ça en devient même caricatural. Son daron lui refile des crises d’angoisses.

Pour Laura et Ruth (la « granny ») tout roule, c’est rigolo et sympa.

(Par ailleurs l’image de couverture je la trouve magnifique *__*!).

M. Douet, prof de Rafaelo, l’aide à s’améliorer grâce à des techniques de projections, hypnoses…

Page 65 = Moi à la place du héros, là, j’aurais tout cassé. Père sévère ou pas. Vive la musique ! Page 66 = Effectivement. Page 67 = Enfin l’affirmation. Page 68 = Prend une décision par rapport à ses parents.

Rafaelo se déniche (c’est pas trop tard!) une belle chérie aux alentours de la page 118.

On peut noter la page 166 comme « très romantique ». Page 170 = Du poison de l’absence…

Rafaelo et sa copine trinquent « au changement » ce qui est une chose sur laquelle on peut toujours compter… Le trompettiste va faire de son mieux pour « réparer » sa famille des années après. Va il réussir ?

La dernière page est pour moi comme un tableau d’automne, une peinture…

Je souhaite que ma critique vous ai plu :’).

Auteur : charlyy gentle.phoenix

Beware those who fear the music! They are dangerous!

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